Encore une fois, pardonnez moi pour les fautes, mais franchement, regardez toutes les lettres que je peux faire: š đ č ć ł ų ž et meme ß; c'est classe, non ?
Me voici déja a Zagreb... ou plutot enfin...comment y suis-je arrive ?
Arrive a láeroport de Ljubliana vers 13h, je me rends a mon velo, n'ayant que peu d'espoir qu'il soit encore la... Il est encore la... presque intact. apres quelqus verification, je pars pour Łjubliana qui est a quelques kilometres de l'aeroport. je dois m'arreter pour rachetrer un pneu avant, celui que jái me suivant (ou me precedant, puisque c est le pneu avant) depuis Paris.
J arrive tard a Ljubliana, , la ville est en fete, mais il semblerait que ce soit tous les soir comme ça... de plus, on fete ce jour la l anniversaire du patron de l auberge ou je creche... je suis a peine descendu de mon velo qu on m a deja mis une biere entre les mains. Le casque colonial que je porte (ȯui, comme dans Tintin au Congo) fait grand effet, et je suis sur toutes les photos...
Je visite la ville le lendemain, tout a fait charmante... Samedi soir, je pars pour Horjul, ou j ai repere une messe ˝integriste˝ pour le lendemain... tres difficile a trouver, c`est une maison privee... je sonne pour etre sur que c`est la, un pretre barbu avec du dentifrice plein la bouche apparait; il me confirme que c est bien la, je plante donc ma tente a proximite, sur une petite colline du voisinage.
le lendemain, messe a 8h, je me pointe avec 5 mn de retard, m apercevant que j ai perdu mon missel en route. j entre, et deja les chants dissonnants boudonnent a mon oreille. je suis cependant accueuilli comme le Messie (non, quand meme pas...). on me donne la meilleure place, mais l espace est assez exigu, et je m incommode moi meme de mon odeur... les pauvres gens. apres la messe, le pretre me prie de rester, et m offre de quoi manger, et de quoi bavarder... il me propose meme un peu d argent, que je refuse evidemment; je devais vraiment faire peine a voir. je m engage ensuite sur la route de Zagreb et plante ma tente pres de Veliko. Nuit suivante sous un pont a Sevnica.
A peine la tente pliee, a nouveau la pluie ; je ne pensais plus la trouver celle la. J en ai marre, je prends le train jusqu a Bresice. Le soleil est revenu, je traverse la frontiere, et entame l approche de Zagreb, interminable, a avaler la poussiere des camions. beaucoup de mal a trouver une creche...
Il est incroyable de voir que la situation a Zagreb est tres differente de celle a Ljubliana: on se sent arrive en ex-Yougoslavie; jái la surprise en demandant le prix d un lit en dortoir de me voir repondre: 150. J ai vite cočpris q il ne s agissaient pas d euro, mais de Kuna. Beaucoup de batiments sont dans un etat de delabrement avance, d autres sont tout neufs. Enfin, c est tout de meme une ville agreable.
La suite au prochain episode ! ėt encore pardon pour les fautes, je les corrigerai sur un vrai clavier., parce que la, ca me gonfle.)
On n'a pas essayé de te sectionner ton cadenas de vélo à l'aéroport de Ljubljana, pendant tes deux mois d'absence ?
RépondreSupprimerJ'avais cru ....
Et la suite ..... ????
RépondreSupprimer(16/07/2014)
ouiiiii et la suite? tu ne vas pas tarder à entrer en Roumanie. Donne bien le bonjour à Flavius. Essaie de te laver avant, pour ne pas décourager son hospitalité, tout le monde ne raffole pas de l'odeur de sainteté des anachorètes ambulatoires !!! Bz du Grand Captain Jack
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